Boréal de Sonja Delzongle
Auteure: Sonja Delzongle
Maison d'édition: Denoel / folio (policier)
Genre: thriller
Prix: 20,50€ / 8,50€
Pages: 448
Date d'édition: 2018
Ce que j'en ai pensé :
Boréal était une lecture un peu mitigée. J'ai mis beaucoup de temps à rentrer dans le roman : presque 200 pages et c'est très très long ! Pourtant j'ai persévéré parce que je sentais un fort potentiel et la deuxième moitié m'a beaucoup plu. Mais une une seconde moitié géniale ne peut pas totalement rattraper une première moitié ennuyeuse. Pourtant je n'ai pas détesté cette lecture pour autant.
J'ai apprécié découvrir ces protagonistes. J'ai apprécié ce groupe de scientifiques. Par contre, j'aurais aimé qu'ils soient un peu plus développés et approfondis même s'ils s’avèrent quand même intéressants. J'ai eu du mal à m'attacher à eux par contre.
On découvre dans un premier temps un groupe de 8 scientifiques aux personnalités bien différentes
Ils étaient tous intéressants mais j'ai quand même eu pas mal de détachements pour eux.
On découvre également Luv. Elle travail pour la cause animale, ce qui lui provoque pas mal de soucis. Sa vie privée est aussi plutôt compliquée. Je l'ai trouvéetrès intéressante et assez attachante.
J'ai mis pas mal de temps a vraiment me mettre à fond dans l'histoire. En soi, elle n'était pas mauvaise, c'était même plutôt intéressant. Les sujets abordés étaient intéressants et il y avait pas mal de mystère et de rebondissement. Mais au début c'était tellement long que je me suis ennuyée.
8 scientifiques s'envolent pour le Groenland. Durant leurs recherches ils tombent sur un cimetières de bœufs musqués, prisonniers de la glace. Une centaine d'animaux qui semblent être morts en même temps. Luv spécialiste de ce genre de phénomène rejoint les scientifiques dans l'enfer glacé. Mais les scientifiques disparaissent petit à petit. Qui leur en veut ? Et pourquoi? Qu'est-il arrivé aux animaux ?
Une lecture plutôt mitigée. En effet, j'ai mis environ deux cents pages pour rentrer complètement dans le roman. C'est long beaucoup trop long ! Par moment même complètement ennuyant. Par contre quand le roman rentre enfin dans le vif du sujet j'ai adoré voir la disparition des scientifiques et des bœufs musqués ainsi que l'explication du pourquoi et du comment. Vers la deuxième moitié tout commence à s'accélérer et à devenir plus palpitant. Par contre la deuxième histoire alternative à Londres m'a paru inutile et ennuyante . Malgré tout, ce fût quand même une assez bonne lecture, même si je ne peux pas oublier les deux cents premières pages ennuyantes.
Les + :
* L'histoire de ce roman était plutôt intéressante. Il y avaient du mystère, de l'action et des scènes vraiment palpitantes.
* J'ai beaucoup aimé l'ambiance glaciale) de ce roman. J'ai adoré me retrouver entourée de glace, dans ce froid polaire. J'ai été transportée directement au Groenland. L'ambiance est pesante, glaciale et oppressante.
Les - :
* Le roman est très long à démarrer et il y a eu pas mal de longueurs. Tout s'accélère à la fin mais cela n'empêche que, par moments, je me suis pas mal ennuyée.
* J'ai eu énormément de mal à m'attacher aux personnages, du coup j'avais du détachement quand il leur arrivait quelque chose.
* Il y a une histoire aternative sur la vie de Luv. Je n'ai pas trop compris pourquoi elle était là et)
je trouve qu'elle encombre le récit.
Maison d'édition: Denoel / folio (policier)
Genre: thriller
Prix: 20,50€ / 8,50€
Pages: 448
Date d'édition: 2018
Résumé
Janvier 2017, au Groenland. Là, dans le sol gelé, un œil énorme, globuleux, fixe le ciel. On peut y lire une peur intense. C’est ainsi que huit scientifiques partis en mission de reconnaissance découvrent avec stupeur un bœuf musqué pris dans la glace. Puis un autre, et encore un autre. Autour d’eux, aussi loin que portent leurs lampes frontales, des centaines de cadavres sont prisonniers du permafrost devenu un immense cimetière. Pour comprendre l’origine de cette hécatombe, le chef de la mission fait appel à Luv Svendsen, spécialiste de ces phénomènes. Empêtrée dans une vie privée compliquée, et assez soulagée de pouvoir s’immerger dans le travail, Luv s'envole vers le Groenland. Ils sont maintenant neuf hommes et femmes, isolés dans la nuit polaire. Le lendemain a lieu la première disparition..
14/ 20
Ce que j'en ai pensé :
Boréal était une lecture un peu mitigée. J'ai mis beaucoup de temps à rentrer dans le roman : presque 200 pages et c'est très très long ! Pourtant j'ai persévéré parce que je sentais un fort potentiel et la deuxième moitié m'a beaucoup plu. Mais une une seconde moitié géniale ne peut pas totalement rattraper une première moitié ennuyeuse. Pourtant je n'ai pas détesté cette lecture pour autant.
Qui sont les personnages
J'ai apprécié découvrir ces protagonistes. J'ai apprécié ce groupe de scientifiques. Par contre, j'aurais aimé qu'ils soient un peu plus développés et approfondis même s'ils s’avèrent quand même intéressants. J'ai eu du mal à m'attacher à eux par contre.
On découvre dans un premier temps un groupe de 8 scientifiques aux personnalités bien différentes
Ils étaient tous intéressants mais j'ai quand même eu pas mal de détachements pour eux.
On découvre également Luv. Elle travail pour la cause animale, ce qui lui provoque pas mal de soucis. Sa vie privée est aussi plutôt compliquée. Je l'ai trouvéetrès intéressante et assez attachante.
Quelle est l'histoire de ce livre?
J'ai mis pas mal de temps a vraiment me mettre à fond dans l'histoire. En soi, elle n'était pas mauvaise, c'était même plutôt intéressant. Les sujets abordés étaient intéressants et il y avait pas mal de mystère et de rebondissement. Mais au début c'était tellement long que je me suis ennuyée.
8 scientifiques s'envolent pour le Groenland. Durant leurs recherches ils tombent sur un cimetières de bœufs musqués, prisonniers de la glace. Une centaine d'animaux qui semblent être morts en même temps. Luv spécialiste de ce genre de phénomène rejoint les scientifiques dans l'enfer glacé. Mais les scientifiques disparaissent petit à petit. Qui leur en veut ? Et pourquoi? Qu'est-il arrivé aux animaux ?
Le style d'écriture.
Dans l'ensemble j'ai bien aimé la plume de Sonja Delzongle. C’était plutôt immersif et bien écrit. Elle a réussi à me faire ressentir des émotions. Par contre j'ai regretté un petit manque de rythme et j'ai trouvé qu'il y avait pas mal de longueurs.
Conclusion
Une lecture plutôt mitigée. En effet, j'ai mis environ deux cents pages pour rentrer complètement dans le roman. C'est long beaucoup trop long ! Par moment même complètement ennuyant. Par contre quand le roman rentre enfin dans le vif du sujet j'ai adoré voir la disparition des scientifiques et des bœufs musqués ainsi que l'explication du pourquoi et du comment. Vers la deuxième moitié tout commence à s'accélérer et à devenir plus palpitant. Par contre la deuxième histoire alternative à Londres m'a paru inutile et ennuyante . Malgré tout, ce fût quand même une assez bonne lecture, même si je ne peux pas oublier les deux cents premières pages ennuyantes.
Les + :
* L'histoire de ce roman était plutôt intéressante. Il y avaient du mystère, de l'action et des scènes vraiment palpitantes.
* J'ai beaucoup aimé l'ambiance glaciale) de ce roman. J'ai adoré me retrouver entourée de glace, dans ce froid polaire. J'ai été transportée directement au Groenland. L'ambiance est pesante, glaciale et oppressante.
Les - :
* Le roman est très long à démarrer et il y a eu pas mal de longueurs. Tout s'accélère à la fin mais cela n'empêche que, par moments, je me suis pas mal ennuyée.
* J'ai eu énormément de mal à m'attacher aux personnages, du coup j'avais du détachement quand il leur arrivait quelque chose.
* Il y a une histoire aternative sur la vie de Luv. Je n'ai pas trop compris pourquoi elle était là et)
je trouve qu'elle encombre le récit.
Une Citation pour se faire une idée de la plume?
Les abeilles disparaissent à un rythme effrayant et effréné depuis 2006. Pourtant, aucun cadavre n’est retrouvé et leur disparition n’a pas été élucidée. Les spécialistes appellent ce phénomène « le syndrome d’effondrement des colonies ». Un tiers des abeilles disparaît chaque année. C’est une menace directe qui pèse sur l’alimentation. Avec la diminution du nombre d’abeilles, le monde n’est pas loin de connaître une crise de la pollinisation. Dans un tel contexte, les chances de survie humaine s’affaibliraient considérablement…
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