Nymphéas noirs de Michel Bussi
Auteur: Michel bussi
Maison d'édition: pocket
Genre: policier
Prix: 7.80€
Pages: 493
Date d'édition: 2010
Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au coeur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit tout et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.
Ce que j'en ai pensé :
Dans l'ensemble, j'ai bien aimé cette lecture, mais quelques points m’ont dérangée, et cela a fait que je n’ai pas su profiter de ma lecture à 100%. En effet, j'ai relevé pas mal de longueurs dans les descriptions essentiellement, qui ont pour moi cassé le rythme du roman. Mais sinon j'ai adoré l'histoire, les personnages, l'ambiance du roman et surtout la fin qui était magistrale.
Les personnages présents ici sont très intéressants. J'ai adoré découvrir ces trois personnages féminins très différents mais pourtant si complémentaires. Par contre, je ne me suis pas beaucoup attachée à elles. Les personnages secondaires sont tout aussi intéressants et bien travaillés.
Fanette est une jeune fille pleine de ressources. Elle est fan de peinture et possède énormément de talent. C'est une jeune fille maligne, déterminée, perspicace. C'est un personnages très nuancé et intéressant.
Stéphanie, la jeune institutrice, est aussi une femme très intéressante. Elle n'est pas heureuse dans sa vie de couple. Elle manque de confiance en elle et de liberté. Elle se sent très enchaînée à son mari. Mais à côté de cela, c'est une femme déterminée et intelligente.
La sorcière, ou la vieille dame du moulin, est le personnage le plus mystérieux de cette histoire et celui que j'ai le plus apprécié. Elle ressemble vraiment à une vieille aigrie, toute seule, recluse dans son moulin. Elle est un peu l'ombre qui surveille le village.
Il y a aussi quelques personnages secondaires intéressants. Par exemple, le mari de Stéphanie ou bien encore les policiers qui enquêtent sur la mort de Morval.
Bon, dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé cette histoire. J'ai particulièrement aimé le fond de l'histoire. L'enquête en elle-même est super intéressante même si elle traîne légèrement en longueur. Le deuxième point que j'ai adoré, c'est l'ambiance du roman. J'ai adoré me retrouver dans la ville de Giverny, là où le grand peintre Monet a vécu, et peint ses fameux nymphéas. La seule chose que je reproche, ce sont les longueurs et les descriptions à rallonge.
On se retrouve dans le village du grand peintre Claude Monet : Giverny. Jérôme Morval, un homme bien connu du village, vient d'être retrouvé assassiné. Dans sa poche, un seul indice. Une carte postale qui fait référence à un enfant de 11 ans et une phrase: le crime de rêver, je consens qu'on l'instaure.
Très vite, les enquêteurs découvrent que l'homme avait deux passions dans la vie. Les femmes ou plutôt les maîtresses, mais aussi l'art, et plus particulièrement les nymphéas de Monet qu'il rêvait de posséder
Les enquêteurs vont alors suivre trois pistes pour ce meurtre. L'enfant de 11 ans, un crime passionnel ou un trafique d'oeuvre d'art ?
En parallèle, on va découvrir la vie de la jeune Fanette, qui rêve de vivre de sa peinture et de s'échapper de ce village. On suit aussi une vieille femme mystérieuse recluse au font du moulin de son village, qui semble planer comme une ombre sur le village : elle entend tout, voit tout, mais ne dit rien.
Bien qu’elle soit assez simple, j'aime beaucoup la plume de Bussi, que je trouve très visuelle et fluide. Par contre, j'ai trouvé que les descriptions qu'il propose ici sont trop lourdes, mais par contre ces description sont bien documentées et permettent totalement de se projeter dans le décor et dans l'ambiance.
Dans l'ensemble, nymphéas noirs est une bonne lecture. Même si j'ai trouvé qu'il y avait pas mal de longueurs et de descriptions à rallonge qui alourdissent le roman.
Mis à part ces petits points, j'ai trouvé que le roman était très bon. J'ai aimé découvrir ces trois femmes toutes aussi intéressantes les unes que les autres. Elles ont de fortes personnalités, toutes différentes. J’ai beaucoup aimé les suivre même si j'aurais aimé réussir à m'attacher légèrement plus à elles. Quant à l'histoire, j'ai adoré tout d'abord me retrouver dans le village de Giverny. J’ai aussi apprécié être vraiment plongée dans l'univers de l'art aussi qui est très bien représenté et bien présent. Le côté enquête est aussi très intéressant et surprenant. Mais ce que j'ai le plus aimé, c'est la fin qui est absolument renversante. La plume de Michel Bussi est très fluide et visuelle. Elle est aussi très bien documentée, ce qui rend le récit encore plus intéressant. Je vous le conseille, il vaut vraiment le coup.
Maison d'édition: pocket
Genre: policier
Prix: 7.80€
Pages: 493
Date d'édition: 2010
Résumé
Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au coeur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit tout et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.
15/20
Ce que j'en ai pensé :
Dans l'ensemble, j'ai bien aimé cette lecture, mais quelques points m’ont dérangée, et cela a fait que je n’ai pas su profiter de ma lecture à 100%. En effet, j'ai relevé pas mal de longueurs dans les descriptions essentiellement, qui ont pour moi cassé le rythme du roman. Mais sinon j'ai adoré l'histoire, les personnages, l'ambiance du roman et surtout la fin qui était magistrale.
Qui sont les personnages
Les personnages présents ici sont très intéressants. J'ai adoré découvrir ces trois personnages féminins très différents mais pourtant si complémentaires. Par contre, je ne me suis pas beaucoup attachée à elles. Les personnages secondaires sont tout aussi intéressants et bien travaillés.
Fanette est une jeune fille pleine de ressources. Elle est fan de peinture et possède énormément de talent. C'est une jeune fille maligne, déterminée, perspicace. C'est un personnages très nuancé et intéressant.
Stéphanie, la jeune institutrice, est aussi une femme très intéressante. Elle n'est pas heureuse dans sa vie de couple. Elle manque de confiance en elle et de liberté. Elle se sent très enchaînée à son mari. Mais à côté de cela, c'est une femme déterminée et intelligente.
La sorcière, ou la vieille dame du moulin, est le personnage le plus mystérieux de cette histoire et celui que j'ai le plus apprécié. Elle ressemble vraiment à une vieille aigrie, toute seule, recluse dans son moulin. Elle est un peu l'ombre qui surveille le village.
Il y a aussi quelques personnages secondaires intéressants. Par exemple, le mari de Stéphanie ou bien encore les policiers qui enquêtent sur la mort de Morval.
Quelle est l'histoire de ce livre?
Bon, dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé cette histoire. J'ai particulièrement aimé le fond de l'histoire. L'enquête en elle-même est super intéressante même si elle traîne légèrement en longueur. Le deuxième point que j'ai adoré, c'est l'ambiance du roman. J'ai adoré me retrouver dans la ville de Giverny, là où le grand peintre Monet a vécu, et peint ses fameux nymphéas. La seule chose que je reproche, ce sont les longueurs et les descriptions à rallonge.
On se retrouve dans le village du grand peintre Claude Monet : Giverny. Jérôme Morval, un homme bien connu du village, vient d'être retrouvé assassiné. Dans sa poche, un seul indice. Une carte postale qui fait référence à un enfant de 11 ans et une phrase: le crime de rêver, je consens qu'on l'instaure.
Très vite, les enquêteurs découvrent que l'homme avait deux passions dans la vie. Les femmes ou plutôt les maîtresses, mais aussi l'art, et plus particulièrement les nymphéas de Monet qu'il rêvait de posséder
Les enquêteurs vont alors suivre trois pistes pour ce meurtre. L'enfant de 11 ans, un crime passionnel ou un trafique d'oeuvre d'art ?
En parallèle, on va découvrir la vie de la jeune Fanette, qui rêve de vivre de sa peinture et de s'échapper de ce village. On suit aussi une vieille femme mystérieuse recluse au font du moulin de son village, qui semble planer comme une ombre sur le village : elle entend tout, voit tout, mais ne dit rien.
La plume de Michel Bussi
ça donne quoi?
ça donne quoi?
Bien qu’elle soit assez simple, j'aime beaucoup la plume de Bussi, que je trouve très visuelle et fluide. Par contre, j'ai trouvé que les descriptions qu'il propose ici sont trop lourdes, mais par contre ces description sont bien documentées et permettent totalement de se projeter dans le décor et dans l'ambiance.
En conclusion nympheas noirs
ça donne quoi?
ça donne quoi?
Dans l'ensemble, nymphéas noirs est une bonne lecture. Même si j'ai trouvé qu'il y avait pas mal de longueurs et de descriptions à rallonge qui alourdissent le roman.
Mis à part ces petits points, j'ai trouvé que le roman était très bon. J'ai aimé découvrir ces trois femmes toutes aussi intéressantes les unes que les autres. Elles ont de fortes personnalités, toutes différentes. J’ai beaucoup aimé les suivre même si j'aurais aimé réussir à m'attacher légèrement plus à elles. Quant à l'histoire, j'ai adoré tout d'abord me retrouver dans le village de Giverny. J’ai aussi apprécié être vraiment plongée dans l'univers de l'art aussi qui est très bien représenté et bien présent. Le côté enquête est aussi très intéressant et surprenant. Mais ce que j'ai le plus aimé, c'est la fin qui est absolument renversante. La plume de Michel Bussi est très fluide et visuelle. Elle est aussi très bien documentée, ce qui rend le récit encore plus intéressant. Je vous le conseille, il vaut vraiment le coup.
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