Ce que tu as fait de moi de Karine Giebel
Auteur: Karine Giebel
Maison d'édition: Belfond
Genre: thriller
Prix: 20.90€
Pages: 552
Date d'édition: 2019
Ce que j'en ai pensé :
Bon ben je suis la première déçue car j'aime beaucoup Karine Giebel mais la je n'ai pas du tout accroché avec cet opus. J'ai été encore plus déçue compte tenu des critiques j'en attendais beaucoup mais avec moi ça ne l'a pas fait. Je me suis ennuyé avec ce roman et je n'ai pas vraiment ressenti d'émotions.
Bon les personnages, je doit bien avouer qu'ils étaient quand même intéressants et travaillés. Par contre, je n'ai ressenti aucune émotions envers eux. Pas d'empathie pour la "victime" ni de dégoût pour le "bourreaux", aucun attachement à eux, une vision des hommes en général dans ce roman que je ne partage pas. Bref je suis totalement détachée de cette palette de personnages.
Richard Ménaiville est commandant des stup, au début il nous parait comme un homme bien sous tout rapport mais très vite on s'aperçoit qu'il est plus proche du pervers narcissique. Son meilleur ami et collègue n'est pas vraiment meilleur.
Laeticia, jeune lieutenant dans la brigade des stups a toujours rêver de devenir flic. Une femme naïve, atteinte d'un syndrome de Stockholm. J'ai eu énormément de mal à cerner et à la comprendre.
Il y a quelques personnages secondaires intéressants notamment les autres collègues de Laeticia et Richard, mais encore une fois aucun attachement envers eux, pour moi il faisait un peu partie du décor.
Même l'histoire ne m'a pas transcendée. Pour moi c'est plus une dark romance qu'un thriller. On nous présente une relation toxique basée sur le chantage, le viol sous la menace ou encore en alcoolisant ou droguant la victime comme une belle histoire d'amour et de passion. Je ne partage pas ce point de vue de l'amour. Une histoire qui tourne un peu en rond. J'avais juste envie de savoir ce qui c'était passé dans le commissariat (d'ailleurs la révélation m'a profondément m déçue, fade, prévisible et peu crédible)
Richard Ménainville est commandant de la brigade des stups. Tout va bien dans sa vie jusqu'à ce qu'il rencontre Laeticia Graminsky. On retrouve les deux protagonistes dans deux salles d'interrogatoire différentes. On sait qu'un drame s'est déroulé au commissariat. On retourne dans le passé pour revenir petit à petit au jour du drame afin de découvrir ce qui a mené à ce résultat. Les deux flics ont crée une relation toxique, qui les a poussé au pire.
Je n'ai pas aimé ce thriller psychologique, qui pour moi était plutôt une dark romance. J'en attendais beaucoup en vue des retours et parce que j'adore cette autrice. Premièrement, je me suis profondément ennuyée. C'était tellement long. Deuxièmement, j'ai ressenti aucune émotion, ni pour les personnages, ni l'histoire. Troisièmement, je ne partage pas le même point de vue que ce livre sur l'amour. Bref, une déception, mais, je sais pertinemment qu'il plaira à d'autres personnes, car cela ne veut pas dire que le roman est mauvais
Les + :
* Même si j'ai eu aucun attachement aux personnages je dois reconnaître qu'ils étaient quand même bien travaillés et assez proche de la réalité, sur la relation bourreaux/victime
* L'histoire de base étaient potentiellement intéressante. Ça décrit plutôt bien une relation complètement toxique et jusqu'où ça peut mener mais c'est en aucun cas pour moi de l'amour.
Les - :
* Je ne partage pas du tout le même point de vue sur l'amour, les hommes et la passion que ce roman. Pour moi, une relation base sur la violence et le viol ne peut pas être de l'amour.
* J'ai trouvé ça tellement long et redondant je me suis souvent ennuyée et je n'avais pas hâte de retourner dedans. Et la fin m'a complètement déçue, prévisible à souhait un peu fade et peu crédible.
* Aucune émotion ressentie durant ma lecture sauf de l'ennuie. J'ai particulièrement eu du mal avec les personnages aucun attachement avec eux et j'ai eu beaucoup de mal à les comprendre.
Maison d'édition: Belfond
Genre: thriller
Prix: 20.90€
Pages: 552
Date d'édition: 2019
Résumé
On se croit solide et fort, on se croit à l’abri. On suit un chemin jalonné de repères, pavé de souvenirs et de projets. On aperçoit bien le ravin sans fond qui borde notre route, mais on pourrait jurer que jamais on n’y tombera. Pourtant, il suffit d’un seul faux pas. Et c’est l’interminable chute.
Aujourd’hui encore, je suis incapable d’expliquer ce qui est arrivé. Si seulement j'avais plongé seul..."
Cette nuit, c’est le patron des Stups, le commandant Richard Ménainville, qui doit confesser son addiction et répondre de ses actes dans une salle d’interrogatoire. Que s’est-il réellement passé entre lui et son lieutenant Laëtitia Graminsky ? Comment un coup de foudre a-t-il pu déclencher une telle tragédie ?
"Si nous résistons à cette passion, elle nous achèvera l’un après l’autre, sans aucune pitié."
Interrogée au même moment dans la salle voisine, Laëtitia se livre. Elle dira tout de ce qu’elle a vécu avec cet homme. Leurs versions des faits seront-elles identiques ?
"Si nous ne cédons pas à cette passion, elle fera de nous des ombres gelées d’effroi et de solitude.
Si nous avons peur des flammes, nous succomberons à un hiver sans fin."
Aujourd’hui encore, je suis incapable d’expliquer ce qui est arrivé. Si seulement j'avais plongé seul..."
Cette nuit, c’est le patron des Stups, le commandant Richard Ménainville, qui doit confesser son addiction et répondre de ses actes dans une salle d’interrogatoire. Que s’est-il réellement passé entre lui et son lieutenant Laëtitia Graminsky ? Comment un coup de foudre a-t-il pu déclencher une telle tragédie ?
"Si nous résistons à cette passion, elle nous achèvera l’un après l’autre, sans aucune pitié."
Interrogée au même moment dans la salle voisine, Laëtitia se livre. Elle dira tout de ce qu’elle a vécu avec cet homme. Leurs versions des faits seront-elles identiques ?
"Si nous ne cédons pas à cette passion, elle fera de nous des ombres gelées d’effroi et de solitude.
Si nous avons peur des flammes, nous succomberons à un hiver sans fin."
10/20
Ce que j'en ai pensé :
Bon ben je suis la première déçue car j'aime beaucoup Karine Giebel mais la je n'ai pas du tout accroché avec cet opus. J'ai été encore plus déçue compte tenu des critiques j'en attendais beaucoup mais avec moi ça ne l'a pas fait. Je me suis ennuyé avec ce roman et je n'ai pas vraiment ressenti d'émotions.
Qui sont les personnages .
Bon les personnages, je doit bien avouer qu'ils étaient quand même intéressants et travaillés. Par contre, je n'ai ressenti aucune émotions envers eux. Pas d'empathie pour la "victime" ni de dégoût pour le "bourreaux", aucun attachement à eux, une vision des hommes en général dans ce roman que je ne partage pas. Bref je suis totalement détachée de cette palette de personnages.
Richard Ménaiville est commandant des stup, au début il nous parait comme un homme bien sous tout rapport mais très vite on s'aperçoit qu'il est plus proche du pervers narcissique. Son meilleur ami et collègue n'est pas vraiment meilleur.
Laeticia, jeune lieutenant dans la brigade des stups a toujours rêver de devenir flic. Une femme naïve, atteinte d'un syndrome de Stockholm. J'ai eu énormément de mal à cerner et à la comprendre.
Il y a quelques personnages secondaires intéressants notamment les autres collègues de Laeticia et Richard, mais encore une fois aucun attachement envers eux, pour moi il faisait un peu partie du décor.
Quelle est l'histoire de ce livre?
Même l'histoire ne m'a pas transcendée. Pour moi c'est plus une dark romance qu'un thriller. On nous présente une relation toxique basée sur le chantage, le viol sous la menace ou encore en alcoolisant ou droguant la victime comme une belle histoire d'amour et de passion. Je ne partage pas ce point de vue de l'amour. Une histoire qui tourne un peu en rond. J'avais juste envie de savoir ce qui c'était passé dans le commissariat (d'ailleurs la révélation m'a profondément m déçue, fade, prévisible et peu crédible)
Richard Ménainville est commandant de la brigade des stups. Tout va bien dans sa vie jusqu'à ce qu'il rencontre Laeticia Graminsky. On retrouve les deux protagonistes dans deux salles d'interrogatoire différentes. On sait qu'un drame s'est déroulé au commissariat. On retourne dans le passé pour revenir petit à petit au jour du drame afin de découvrir ce qui a mené à ce résultat. Les deux flics ont crée une relation toxique, qui les a poussé au pire.
Le style d'écriture.
D'habitude j'aime beaucoup la plume de Karine Giebel mais la je ne sais pas j'ai trouvé ça un peu lourd et redondant. Dans ses autres roman l'autrice réussissait à me faire ressentir énormément d'émotions, mais là je n'ai pas réussi à ressentir la moindre émotion.
Conclusion
Je n'ai pas aimé ce thriller psychologique, qui pour moi était plutôt une dark romance. J'en attendais beaucoup en vue des retours et parce que j'adore cette autrice. Premièrement, je me suis profondément ennuyée. C'était tellement long. Deuxièmement, j'ai ressenti aucune émotion, ni pour les personnages, ni l'histoire. Troisièmement, je ne partage pas le même point de vue que ce livre sur l'amour. Bref, une déception, mais, je sais pertinemment qu'il plaira à d'autres personnes, car cela ne veut pas dire que le roman est mauvais
Les + :
* Même si j'ai eu aucun attachement aux personnages je dois reconnaître qu'ils étaient quand même bien travaillés et assez proche de la réalité, sur la relation bourreaux/victime
* L'histoire de base étaient potentiellement intéressante. Ça décrit plutôt bien une relation complètement toxique et jusqu'où ça peut mener mais c'est en aucun cas pour moi de l'amour.
Les - :
* Je ne partage pas du tout le même point de vue sur l'amour, les hommes et la passion que ce roman. Pour moi, une relation base sur la violence et le viol ne peut pas être de l'amour.
* J'ai trouvé ça tellement long et redondant je me suis souvent ennuyée et je n'avais pas hâte de retourner dedans. Et la fin m'a complètement déçue, prévisible à souhait un peu fade et peu crédible.
* Aucune émotion ressentie durant ma lecture sauf de l'ennuie. J'ai particulièrement eu du mal avec les personnages aucun attachement avec eux et j'ai eu beaucoup de mal à les comprendre.
Une Citation pour se faire une idée de la plume?
On se croit solide et fort, on se croit à l’abri. On suit un chemin jalonné de repères, pavé de souvenirs et de projets. On aperçoit bien le ravin sans fond qui borde notre route, mais on pourrait jurer que jamais on n’y tombera. Pourtant, il suffit d’un seul faut pas, d’une seule embardée. Ensuite, c’est la chute. L’interminable chute…
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