Sous le signe du scorpion Maggie Stiefvater

Auteure: Maggie stiefvater
Maison d'édition:  le livre de poche  
Genre:  Fantastique 
Prix:  6,70 €
Pages: 478
Date de 1er édition: 2011


Résumé 

"Certains concourent pour gagner, d’autres pour survivre. » Chaque année au mois de novembre se déroulent les courses du Scorpion. Les cavaliers doivent tenir le plus longtemps possible sur leurs dangereuses montures, des chevaux de mer cannibales. Assez longtemps pour avoir une chance d’atteindre la ligne d’arrivée… et survivre. Sean Kendrick, 19 ans, tente de nouveau sa chance cette année, bien décidé à arriver le premier. Puck Connolly, quant à elle, n’aurait jamais imaginé participer un jour à la course. Mais le sort en a décidé autrement, et elle se retrouve malgré elle propulsée dans la course, à laquelle aucune autre femme n’avait encore participé. L’enjeu est grand pour ces deux adversaires que tout oppose sauf leur désir commun de remporter le plus grand des prix : la vie."


17/20

1ère impression: 

  J'ai adoré cette lecture. Dans un premier temps, je l'ai trouvée entraînante et captivante. Mais d'un autre côté, je me suis beaucoup retrouvée dedans et j'ai été beaucoup touchée, surtout par l'amour des personnages pour leurs chevaux.
 
Parlons des personnages 
      
     Les personnages de l'histoire sont extrêmement attachants et intéressants. Je n'avais pas du tout envie de les lâcher. Ils sont bien, travaillés, complexes, subtils.

    J'ai adoré le personnage de Sean. Ce jeune entraîneur de chevaux est passionnant à découvrir. Il est dégourdi, loyal, déterminé, altruiste, téméraire et persévérant. Il a un lourd passé, mais essaie de tout faire pour avancer. Il s'est pris d'amour pour Corr l'étalon des mers qu'il entraîne. Il est prêt à tout pour le cheval. Je me suis retrouvée en lui dans un certain sens.

   Puck est une jeune fille déterminée, tête brûlée, libre, indépendante, protectrice, douce et loyale. Elle aime sa famille et sa ponette Dove plus que  tout, et est prête à tout pour les protéger.

    Des personnages non moins intéressants entourent nos deux protagonistes principaux.
    
Passons à l'histoire de ce livre

   L'histoire était passionnante et touchante. Par contre, j'aurais aimé que toute l'avant-course prenne un peu moins de place et que la course du scorpion soit légèrement plus développée. Mais j'ai malgré tout adoré l'histoire. Que ce soit l'univers créé avec ses chevaux sauvage et cannibale, ou encore tout ce qui concerne l'amour des chevaux, leur entraînement ou encore la vie des protagonistes sur cette petite île. Tout a été bien mener.

    N'oublions pas de parler du style d'écriture

    La plume de Maggie Stiefvater m'a conquise. J'ai adoré sa manière d'écrire riche, poétique et fluide.

 Pour conclure 

 " Sous le signe du scorpion" a été une excellente lecture.  J'ai passé un très bon moment. C'était touchant et entraînant à la fois. J'ai aimé l'univers, l'histoire, la plume, les personnages. C'était bien écrit et construit. Juste ce qu'il fait d'action, d'émotions et de rebondissements. J'avais envie de savoir ce qu'il allait en advenir de la course, des chevaux et des personnages.

les +

 * J'ai adoré l'univers créé par l'auteur. Cette petite île mystique où des chevaux des mers, sauvages et cannibales règnent. Une atmosphère oppressante et dangereuse.

* Les personnages étaient attachants et bien construits. J'ai particulièrement été touchée par le lien qu'ils ont avec leurs chevaux. Je me suis retrouvée dans ces relations où ils sont prêts à tous les sacrifices pour le bien être de leurs chevaux.

* L'histoire en elle-même est sympathique. J'ai aimé suivre tout l'entraînement des chevaux pour la course, la vie sur cette petite île et la course en elle-même.

* la plume de Maggie Stiefvater était superbe, équilibrée, poétique, visuelle et percutante.  Je suis fan de sa plume.

Les – :

* Quelques petites répétitions.

* J'aurais aimé que la fin soit légèrement plus développée.
 
Une Citation pour se faire une idée de la plume !

Notre entretien est fini.Je ne monterai peut-être plus jamais Corr. Et, sans lui, je ne sais pas qui je suis.

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