La cerise sur le gateau de Aurélie Valognes

Auteure: Aurélie Valogne 
Maison d'édition: Mazarine / le livre de poche 
Genre: contemporain  
Prix: 18,90 € / 8,70 € 
Pages:  399
Date d'édition: 2019




Résumé 

Brigitte, une jeune retraitée, profite pleinement de sa nouvelle liberté en multipliant les activités. Pourtant, l'harmonie de son quotidien est bientôt troublée par Bernard, son mari, bourreau de travail qui, à 61 ans, vient d'être mis à la retraite contre son gré. A ce sérieux désagrément, s'ajoutent la présence de voisins insupportables et la venue de son envahissante famille.




14/20 

Ce que j'en ai pensé : 

  
 C'était une lecture plutôt mitigée. J'ai mis presque 200 pages à vraiment rentrer dedans. J'ai pas trop aimé la première partie qui parle essentiellement de Bernard et de sa mise à la retraite, mais j'ai apprécié toute la deuxième partie qui aborde plus l'écologie et le changement de mode de consommation de Bernard. 




Qui sont les personnages .


  J'ai eu beaucoup de mal avec les personnages. Ils sont certes intéressants et attachants, mais ils sont quand même un peu fades ! J'ai également eu du mal à m'attacher à eux. J'aurais apprécié avoir plus de profondeur dans les personnages, surtout Nicolas et Alice qui sont quand même très présents. 



   Bernard le grand-père est absolument insupportable pendant les trois-quarts du roman : égocentrique, macho et égoïste, Brigitte sa femme est plus douce et elle est très patiente pour supporter son mari. Nicolas leur fils est trop fade, Alice sa femme est pleine d'idées et les revendique. Les deux petits-enfants sont adorables, la petit Charlotte est pleine de ressources. Leurs voisins sont insupportables, surtout madame : une vraie mégère. 
  


Quelle est l'histoire de ce livre?

    
  J'ai eu beaucoup de mal avec les personnages. Ils sont certes intéressants et attachants, mais ils sont quand même un peu fades ! J'ai également eu du mal à m'attacher à eux. J'aurais apprécié avoir plus de profondeur dans les personnages, surtout Nicolas et Alice qui sont quand même très présents. 


   Bernard le grand-père est absolument insupportable pendant les trois-quarts du roman : égocentrique, macho et égoïste, Brigitte sa femme est plus douce et elle est très patiente pour supporter son mari. Nicolas leur fils est trop fade, Alice sa femme est pleine d'idées et les revendique. Les deux petits-enfants sont adorables, la petit Charlotte est pleine de ressources. Leurs voisins sont insupportables, surtout madame : une vraie mégère. 



Le style d'écriture. 

  La plume d'Aurélie Valogne est très simple. C'est sans prise de tête, frais et rafraichissant. C'est également très fluide. J'aime beaucoup sa plume, je passe toujours un bon moment de détente avec elle.






Conclusion 


C'était une lecture légèrement mitigée. D'un coté, j'ai passé un bon moment, c'était divertissant et agréable et j'ai adoré la deuxième partie qui parle d'écologie. Mais d'un autre coté, j'ai mis énormément de temps à vraiment rentrer dans l'histoire, la première partie m'a ennuyée, Bernard m'a énervée et j'ai trouvé que cela manquait légèrement de profondeur et c'était un peu caricatural. 

Les + :


*  J'ai apprécié la seconde partie de l'histoire. Quand Bernard aide son petit-fils et fait un exposé sur le plastique, il prend conscience de beaucoup de choses, et décide de changer son mode de vie. J'ai trouvé ça très intéressant. 

* J'ai apprécié tout le message sur l'écologie, le changement de consommation, la surconsommation notamment de plastique, les répercutions sur les futures générations. 

Les - :


* J'ai eu beaucoup de mal avec le personnage de Bernard qui m'a beaucoup énervée ! Javais envie de le baffer tellement il me sortait par les yeux ! Il est égoïste, macho, méchant, surtout avec sa femme, imbu de lui-même... 

* Les personnages manquaient de profondeur, ils étaient un peu trop fades à mon goût. 

* J'ai mis beaucoup de temps à apprécier l'histoire. Toute la première partie sur la mise à la retraite de Bernard ne m'a pas énormément emballée.




Une Citation pour se faire une idée de la plume?





Son épouse, Brigitte, jonglait avec les contraintes comme avec ses casseroles, dans lesquelles elle préparait, toujours, une multitudede plats différents pour satisfaire ses convives. Elle parvenait à contenter ses engements d’enseignante et ses priorités parentales avec une aisance déconcertante. 

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